Chacun de nous est un être cyclique.
Chacun de nous nait, vit, et meurt, puis recommence, dans un cycle parfait.
Chacun de nous le fait selon sa propre fréquence porteuse.
Mais aucun de nous n’a la même fréquence porteuse.
La complexité de nos mouvements est dûe à de multiples modulations de cette porteuse.
Qu’est ce qui change, donc, quand on meurt et que l’on revient ?
Tout ce qui nous entoure a progressé aussi, mais à son rythme, différent du notre.
Cet extrait de la carte infinie de ce que nous sommes peut être lu de la manière suivante:
Chacun de nous est un numéro, en haut, associé à un signal à la verticale.
Par exemple le chiffre 4, dans cet extrait, cycle trois fois. Chaque cercle signifie le début d’un cycle.
Il faut comprendre que cette « carte de la vie » n’a pas de fin. Elle ne peut être tracée dans son entier.
Là où se trouvent les trois points, il est tout à fait possible de continuer à tracer cette « fenêtre ».
La vie est donc… Eternelle.
Il y a bien eu un BigBang, point de départ de tout le monde.
Il n’y aura pas de BigCrunch, de fin du monde.
Nous nous dispersons les uns des autres, nous écartant les uns des autres, tout en réalisant que nous sommes toujours plus nombreux que ce que nous pensions.
Comme disait un ami, « tout tremble, mais rien ne bouge ».
C’est l’immuabilité, dans son mouvement Eternel.
Il serait peut-être temps de commencer à comprendre ce genre de choses.
Il serait peut-être temps de savoir quand est-ce que nous mourrons, et quand est-ce que nous revenons.
Il suffirait de marquer quelques atomes…
Ce que je dis n’est-il pas la clé de la théorie des cordes ?